QUi sommes- nous ?
Ses débuts d'impro se font dans le format Match avec beaucoup de trac mais le rire l’emporte. Née alors l'addiction pour l’improvisation. Son premier festival d’impro c’est à Nancy avec la SDI, c’est un gros coup de cœur et une révélation sur les possibilités de l'improvisation théâtrale. Née alors une nouvelle addiction : les festivals d’improvisation.
Son intérêt pour le genre et le féminisme l’amène à intégrer le collectif « Impro Sexes et Genre » (ISG) à Paris.
Directrice artistique du projet, elle développe le format improvisé «Trouble » qui cherche à questionner nos stéréotypes de genre.
Formatrice, elle donne des ateliers d’impro et des stages sur des sujets de déconstruction et sur l’intimité et la sensibilité dans le jeu improvisé.
En parcourant les festivals en France et en Europe, elle constate avec d’autres improvisatrices, une place prépondérante pour les invités masculins en festival mais aussi dans beaucoup de spectacles professionnels. Née alors l’envie de créer un festival d’improvisation qui met en valeur le travail des artistes femmes : formatrices, comédiennes et metteuses en scènes.
eva
leriche
she/elle
Ado, la scène a été une clé pour créer, s'exprimer et affirmer la femme qu'elle est aujourd'hui. Valentine se forme au Cours Florent et étudie à l'Université en Médiation Culturelle. Passionnée par le sujet, elle écrit entre Paris et Montréal, un mémoire sur l'improvisation théâtrale, publié en 2017.
De 2017 à fin 2019, elle est chargée de projet au Trophée d'Impro Culture et Diversité, championnat national de match d'impro pour les collégiens, et parrainé par Jamel Debbouze. Elle s'engage également au sein du programme Slam à l'Ecole soutenu par l'artiste Grand Corps Malade.
Comédienne improvisatrice et féministe, elle s’implique au sein de différents projets : l’équipe de Self Collective qui propose des stages de self-défense physique et d’impro, auprès de la militante Camille Teste, elles conjuguent ensemble impro, yoga et empouvoirement. Elle accompagne en tant que coach des jeunes femmes à se connaître et s’empouvoirer au sein de l’association Rêv’Elles.
Elle transmet aujourd'hui sa passion de l'impro à l'Ecole des Eux, les Impronautes et aux Plateaux Sauvages à Paris.
Depuis 2019, elle co-organise le Wonder Impro Festival : un festival féministe d’improvisation théâtrale, projet précieux qui allie sa passion de l'impro et ses convictions féministes. En 2023, elle crée le podcast ARDENTES qui donne la parole aux artistes engagéex.s
valentine nogalo
she/elle
Il y a 6 ans, elle se lance dans la belle aventure du théâtre d’improvisation. Elle croit en une pratique basée sur la collaboration, le respect, l’écoute, les limites et le consentement. Son mantra en jeu : « Peu importe que je sache où je vais tant que je sais que nous y allons ensemble dans le respect de qui nous sommes en tant que personnes, comédien.ne.x.s et personnages ».
C’est à la même époque que sa conviction féministe se forge. C’est par une amie très engagée que son regard a changé. Elle a pu identifier ce qu’étaient les injonctions sociales, hétéronormées, patriarcales, raciales de son quotidien. Elle continue aujourd’hui à avancer sur ce chemin avec des femmes fortes et engagées dans et hors impro.
Clémence est une spécialiste de la diversité en entreprise avec une expertise handicap et égalité femme/homme. Tous les jours, elle travaille à identifier, nommer et remettre en cause les préjugés et stéréotypes présents dans le monde du travail. Elle intervient auprès des salarié.e.x.s, des managers, des responsables de département pour lutter contre les discrimination à l’embauche et au cours de la carrière.
Elle fait partie du comité d’organisation du Wonder Impro Festival depuis sa création. Elle veut y apporter toute sa passion et ses compétences personnelles et professionnelles.
clémence fouquet
she/elle
Alex
casanova
C'est au Conservatoire de théâtre de Genève qu'une copine de classe propose à Alex d'intégrer une équipe d'impro.
Elle participe à la sélection de l'équipe suisse junior lors du festival international d'impro à Genève. Elle part s'installer à Paris pour continuer ses études où elle goûte à tous types de formats improvisés.
Dans son parcours en lien avec le déploiement de sa féminité et du féminisme, elle intègre des club de soutien d'entrepreneuses. Au sein d'une création théâtrale féministe jouée au théâtre des Béliers Parisiens, elle endosse les rôles d'assistante à la mise en scène et de comédienne. Le féminisme est pour elle synonyme de volonté à rendre l'égalité des chances et des considérations pour tous les genres.
Avec toutes ces rencontres et expériences, elle comprend que sa place est aussi dans la transmission et l'accompagnement. Elle devient sophro-analyste et utilise des techniques de sophrologie, et de théâtre pour coacher la prise de parole en public.
Elle est convaincue qu'à travers les arts on peut transmettre énormément de messages d'éveil, voilà pourquoi elle s'est lancée avec enthousiasme dans l'aventure du Wonder Impro Festival.
she/elle
Heyfa découvre l'improvisation par un hasard financier. Eh oui !! Le cours d’impro de la MJC de Sceaux était moins cher que le cours de théâtre.
Elle a fait partie de la Ludi-Idf et des Kontrefaçons à Paris, de Version Longues, une troupe d'improvisation long form, des Capitaines de la BIM à Bruxelles, et est actuellement de ISG (Impro Sexe et Genre), avec qui elle joue le spectacle Trouble, qui remet en cause la représentation de genre en improvisation.
Voulant allier sa passion et l’amour de son pays la Tunisie, Heyfa est également co-organisatrice du festival Mahdia Improvise, qui se déroule dans sa Tunisie natale, dans le but d'y promouvoir l'improvisation. Elle est également membre de Sabir, un projet d'improvisation méditerranéen.
Aujourd'hui son nouveau défi est de concilier sa passion et son combat féministe en rejoignant l’organisation du Wonder Impro Festival, un festival qui porte ses valeurs sur scène.
heyfa
limam
Lara
Bakech
she/elle
Lara découvre l'improvisation théâtrale à 15 ans, après déjà quelques années de cours de théâtre au conservatoire de Genève. Elle rejoint une équipe d'impro junior et pendant 3 ans va enchaîner les match. Objectif faire rire, mais aussi très vite, se dépasser et se défaire de ses propres stéréotypes et de ses barrières.
Elle arrive à Paris en 2012 pour débuter une licence de Médiation culturelle. En France, elle découvre l'engagement syndical et associatif. Elle laisse de côté l'impro pour s'engager pleinement dans les luttes féministes. Elle décide d'ailleurs d'en faire son métier et se forme à la lutte contre les discriminations en master.
En 2019, elle ne tient plus : l'impro lui manque beaucoup trop ! Elle reprend donc des cours auprès de Again Production pour parfaire sa technique. Forte de ses engagements féministes, elle ne peut concevoir une pratique de l'impro sans réflexion sur le genre, la place des femmes et des minorisé.exs dans ce milieu.
En 2023, elle est donc ravie de découvrir le festival du Wonder qui allie ses deux passions et d'y participer comme bénévole. Elle rejoint l'organisation du festival à la suite de la première édition.